mine de rien, c'est permis de savoir des gros mots, mais il faut en dire le moins souvent possible.
Blaireau était vieux. C'était un ami sûr, toujours prêt à rendre service. Mais un matin, il n'était plus là...
Mine de rien, faire pipi au lit, ça peut vouloir dire plein de chose, mais de toute façon ça finit toujours par s'arranger.
Après la mort d'un être cher on est malheureux, on a du chagrin. On dit qu'on est en deuil...
La mort, on doit pouvoir en parler, même aux tout-petits, leur donner les mots pour comprendre ce qui se passe lorsqu'une personne chère disparaît. Dire la vérité à un enfant lui permet de faire le deuil, d'exprimer son chagrin et de sentir peu à peu que la vie continue et qu'il a le droit d'être content de vivre.
Mine de rien, quand les parents se respectent et nous respectent, tout se passe mieux dans notre coeur.
Quand on est enfant, il est important de grimper dans son arbre généalogique et d'y faire son nid. Mine de rien, quand on connaît bien les racines de sa famille, on s'y retrouve mieux.
Mine de rien, la violence est dans le coeur des humains mais, quand on peut en parler, c'est mieux.
Long poème en prose écrit en anglais par un auteur libanais, Le Prophète est un chef-d'oeuvre dont le succès ne s'est jamais démenti depuis sa parution en 1923. Personnage imaginaire, ce prophète livre sa doctrine spirituelle, sous forme de maximes et d'allégories, en répondant aux aspirations profondes de l'homme : connaissance de soi, croyance, distinction du bien et du mal, mais aussi amitié, mariage, plaisir... Entre questions métaphysiques et hymne à la beauté, le texte garde tout son mystère et sa puissance de suggestion. Comme l'écrit le poète syrien Adonis, Gibran a voulu «faire éclore dans l'homme tout ce qui le dépasse et tout ce qui est plus grand que lui : l'amour, la joie, la révolte, la liberté». Un message de sagesse que seule la poésie, dans sa fulgurance, peut faire éclore.
Toutes les couleurs de peau sont belles : le brun, le blanc, le noir, le jaune, le rose. Chacun peut être fier de la couleur de sa peau.
mine de rien, c'est formidable de devenir un grand frère, même si on est à la fois très jaloux, très malheureux, très fâché et très très très content.
Notre corps, c'est nous-même, il faut bien y faire attention. C'est avec lui que nous pensons, parlons, bougeons et aimons. Parfois des adultes ne le respectent pas, certaines caresses sont interdites. Il ne faut pas les laisser faire et en parler aussitôt à une personne en qui on a confiance. Personne n'a le droit de nous toucher si nous ne le voulons pas. Mais les bons gros câlins bien tendres des grandes personnes qui nous aiment et nous respectent, ceux-là font toujours du bien.
Mine de rien, pour vivre, tous les humains et tous les animaux font des cacas et des prouts. Tout le monde le sait, mais on dit que c'est poli de ne pas trop en parler.
mine de rien, le noir, ça s'apprivoise, alors on n'a plus peur et on découvre que la nuit, il se passe plein de jolies choses.
« C'est pour ton bien ! » Cette expression, qu'elle s'adresse à un enfant ou à un adulte, suppose une relation inégale entre celui qui sait et doit convaincre et celui qui ne sait pas et doit entendre l'argument. Le savoir s'articule donc à une relation de pouvoir (celui des parents, du professeur, du médecin...). Mais de quelle « bienveillance », de quelle autorité s'agit-il vraiment ? Et n'est-ce pas dans le domaine politique et social que cette dissymétrie pose le plus de questions ? Éduquer, n'est-ce pas surtout une occasion de s'éduquer soi-même ?
Connaître l'histoire de notre naissance, ça nous aide à vivre. On la fête le jour de notre anniversaire qui nous rappelle que c'est un très grand moment de notre vie.
Parfois quand on est jaloux, on devient méchant, finalement ça nous rend malheureux.
Mine de rien, un petit vaccin vaut mieux qu'une grosse maladie. Quand on est petit, on attrape plein de petites maladies pas graves du tout, et quand on nous soigne bien, elles passent très vite. Puis il y a des maladies graves, celles qu'il vaut mieux ne pas avoir. C'est pour cela que les médecins nous vaccinent avec l'accord de nos parents.
La politesse, c'est ce qui aide le mieux à vivre ensemble, même si on n'a pas toujours envie d'être poli. Être polis, vivre avec des gens polis, ça adoucit la vie, ça la rend plus jolie.
« Dieu existe-t-il ? », « Où est-il ? », « Comment s'appelle-t-il ? », « Que faisait-il avant de créer le monde ? ». On peut poser quantité de questions à propos de Dieu, mais les réponses manquent. On peut croire en lui ou non, mais l'on ne sait rien avec certitude. Pourquoi, alors, les hommes se disputent-ils à propos de quelqu'un ou de quelque chose dont ils ne savent rien ? Pourquoi se font-ils la guerre au nom des religions ? Qu'il existe ou non, Dieu est l'enjeu de bien des conflits et l'on cherchera à comprendre pourquoi, en se demandant ce qu'il représente pour les hommes. Est-il possible de mettre un terme à ces disputes ou si les hommes sont condamnés à se battre au nom de ce qu'ils ignorent, et à se haïr au nom de ce qu'ils aiment.
Quand on demande à avoir un animal dans la maison il faut savoir qu'on devra s'en occuper et que ce n'est pas un jouet qu'on peut jeter. Les animaux sont des amis qui peuvent nous apprendre beaucoup de choses, comme l'attachement et l'affection.
Shasta, maltraité par le pêcheur qui l'a recueilli et élevé, quitte le pays de Calormen en compagnie de Bree, un cheval doué de parole. Ils n'ont qu'un espoir : rejoindre le merveilleux royaume de Narnia... En chemin, ils rencontrent une jeune fille de noble naissance, Aravis, qui fuit un mariage forcé. D'aventure en aventure, les deux héros perceront-ils le mystère qui entoure la naissance de Shasta ?
43 des plus beaux récits de l'Ancien et du Nouveau Testament, 43 illustrations splendides et 43 musiques de toutes beauté : de Bach à Honegger en passant par Haendel, Vivaldi, Haydn, Mozart et les autres...
Les sommets de l'art pour un voyage musical à travers les textes sacrés. Et la voix, émouvante et vraie, d'André Dussollier...
Peter, Susan, Edmund et Lucy sont sur le point de se séparer pour entamer une nouvelle année scolaire. Ils attendent le train qui doit les conduire en pension quand, tout à coup, ils sont transportés dans le pays de Narnia où ils ont régné autrefois. Mais si, pour eux, une année seulement s'est écoulée, dans leur ancien royaume des siècles ont passé. Le palais royal est en ruines. Parviendront-ils à ramener la paix dans le monde magique de Narnia ?